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Poissons d'eaux profondes

Poissons d'eaux profondes

Un article de Encyclo-ecolo.com.


Sommaire

Les poissons des eaux profondes

  • Les principales espèces exploitées sont l’hoplostète ou empereur, le grenadier de roche, le sabre noir, la lingue bleue, le flétan noir, le brosme, la lingue et les requins siki.


Voir l'article sur la [ [Pêche en eaux profondes] ]


  • Nombre d’espèces d’eaux profondes pour lesquelles les spécialistes européens de la pêche ont suffisamment de données leur permettant de déterminer un niveau de capture pérenne : 0
  • Statut de la lingue bleue dans tout l’Atlantique nord-est : épuisé
  • Statut de l’hoplostèthe orange dans tout l’Atlantique nord-est : épuisé
  • Nombre d’années durant lesquelles l’hoplostèthe orange a pu être pêché dans l’Atlantique nord-est avant l’effondrement total de la pêcherie : 10
  • Estimation du pourcentage de poissons d’eaux profondes rejetés en mer en raison de leur peu de valeur : jusqu’à 50 %
  • Pourcentage de poissons d’eaux profondes rejetés dont la survie est envisageable après leur rejet : 0 %
  • Nombre d’espèces d’eaux profondes pêchées de manière durable selon les autorités scientifiques : 0


Les poissons des profondeurs

La masse d'eau des "grands fonds" des océans est subdivisée en 4 zones de profondeur :

  • la zone mésopélagique (150 -1000 m);
  • la zone bathypélagique (1000-3000m);
  • la zone abyssopélagique (3000-6000m);
  • la zone hadale (plus de 6000 m de profondeur), dans les fosses océaniques profondes.

Le classement des poissons selon la profondeur

On en sait encore très peu sur les poissons des eaux profondes, dont on continue de découvrir des espèces. Les poissons se classent en 3 groupes:

  • Les poissons pélagiques : vivent le plus souvent entre deux eaux et ne dépendent pas des fonds marins ;
  • Les poissons démersaux : vivent près des fonds et en dépendent ; la plupart des familles démersales d'eaux profondes sont présentes partout dans le monde, mais l'existence de bassins isolés en eaux profondes délimités par les continents et les dorsales océaniques entraîne des différences régionales qui seraient dues à la dérive des continents et à la formation des océans qui en a résulté.
  • Les poissons benthopélagiques : vivent près des fonds, mais font de courtes migrations dans la masse d'eau (pour s'alimenter).

En règle générale, les poissons démersaux évoluant en eaux profondes proviennent de groupes nettement plus anciens d'un point de vue phylogénétique que les espèces pélagiques (les premières espèces démersales existaient déjà il y a 80 millions d'années).

Comme les espèces démersales sont réparties selon la profondeur, celles qui vivent sur la pente continentale et le glacis continental sont réparties sur des zones de profondeurs semblables à des bandes sur le pourtour des océans. Lorsque les espèces pélagiques d'eaux profondes et les espèces démersales évoluent dans le même milieu, il y a généralement prédation entre les deux groupes.

deepsea01.jpg image .comite-peches.fr

> Seules quatre espèces (légine, lingue bleue, grenadier de roche et sabre noir) constituent plus de 85 % des captures françaises en 2008.


Les poissons des profondeurs à ne pas acheter

Quels poissons d'eaux profondes éviter ?

Quels poissons acheter pour éviter d'accentuer la désertification des océans ? La surconsommation et la surpêche, sont telles qu'on a peur que les ne soient bientôt vides de leur poissons.

Alors comment se comporter ? Ne plus acheter de poissons ?

Cernier atlantique

  • Mérou gris de l'Atlantique, ou cernier - Atlantic Wreckfish (Polyprion americanus) Perciformes

Le Cernier commun, cabot ou Mérou de Bosques, Mérou fanfré (Polyprion americanus) est une espèce de poisson marin de la famille des Polyprionidae.

Le cernier atlantique représente 30 % de la Valeur des captures d’eaux profondes de l’UE en 2008

Le cernier est un poisson en grand danger d’éradication, pour cause de surpêche !

> En savoir plus sur le Cernier

L'Empeur ou hoplosthète

  • EMPEREUR (HOPLOSTETE ORANGE) Hoplostethus atlanticus, Atlantique Nord‐Est (ANE) et Pacifique
  • Statut de l’hoplostèthe orange dans tout l’Atlantique nord-est : épuisé
  • Nombre d’années durant lesquelles l’hoplostèthe orange a pu être pêché dans l’Atlantique nord-est avant l’effondrement total de la pêcherie : 10
  • L’empereur est un poisson menacé de disparition d’ici 3 à 5 ans. La pêche de l’empereur a débuté dans le Pacifique sud ouest au début des années 80 (Nouvelle-Zélande, Union Soviétique, Australie) et dans l’Atlantique Nord au milieu des années 80 (France, Islande, Féroé) ;


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Les dorades sébastes

>> Voir l'article DORADE SEBASTE


Le hoki ou merlu à longue queue

  • HOKI Macruronus novaezelandiae, Macruronus magellanicus

Riche en sélénium, vitamine B12 et vitamine D, le hoki est un poisson des profondeurs très apprécié dans la restauration collective en raison de son faible coût.

En outre, les captures de hoki, dépassant largement les 200.000 tonnes par an dans les années 1990, ont chuté jusqu’à atteindre 29.000 tonnes en 2007, signe d’une mauvaise gestion de la pêcherie et d’un déclin inquiétant des stocks.

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En savoir plus sur le HOKI

La légine

  • LEGINE AUSTRALE Dissostichus eleginoides

La légine (« toothfish ») provient des eaux antarctiques, notamment celle des Terres Australes et antarctiques Françaises. La légine est un poisson de grande taille pesant jusque 30 kilos, vivant dans les profondeurs (jusqu'à 2 500 m) des mers australes. Cette espèce de poisson des mers froides a été découverte tardivement dans la Zone Economique Exclusive française, autour des îles Kerguelen et Crozet. SAPMER fut le premier armement à l’exploiter, à partir de 1990 avec un fort contrôle des Autorités qui sont présentes à bord des navires.

Appréciée de la clientèle asiatique, la légine s’écoule à des prix élevés sur les marchés japonais et américains. En raison de son cycle de reproduction très lent, la France a mis en place une réglementation de pêche particulièrement stricte, d’autant que la ressource a fait l’objet d’un pillage systématique, par des bateaux pirates, à partir de 1996.

Des quotas de captures sont attribués chaque année par l’administration des Terres Australes et Antarctiques Françaises aux armements autorisés. Seule la technique de la palangre profonde est admise et les prises sont vérifiées par un contrôleur des pêches, embarqué sur chaque bateau. Cinq des six armements réunionnais, regroupés au sein du Syndicat des Armements Réunionnais de Palangriers Congélateurs et du GIE Protection Légine Réunion, contribuent activement à la gestion durable du stock de légines et à la surveillance de la zone voir la vidéo : http://www.sapmer.com/p-La-legine.html&uuidsscategorie=473c657e7d8d8?SSID=gqzgnjnnvqih


Le grenadier

GRENADIER Coryphaenoides rupestris ANE et Pacifique GRENADIER Coryphaenoides rupestris

  • Le grenadier ou coryphaenoides armatus a une vaste aire de répartition. Avec l’espèce C. yaquinaen, sa biomasse totale mondiale est estimée à 15 millions de tonnes
  • La pêche du grenadier a débuté au milieu des années 60 dans l’Atlantique Nord-Ouest, et au milieu des années 70 dans l’Atlantique Nord-Est (Union soviétique, Pologne, Allemagne de l’Est) Les Russes pêchaient beaucoup de grenadier à la fin des années 70", explique Jean-Pierre Plormel, directeur de l'organisation de producteurs From-Bretagne. "En France, les premières recherches des Boulonnais en 1976 et 1977 n'eurent pas de suite, les mareyeurs trouvant ce poisson difficile à valoriser". Les Boulonnais relancèrent cette pêcherie de grenadier à la fin des années 80, suivis en 1990 par les pêcheurs bretons. "Le grenadier a alors permis de compenser l'effondrement de la pêcherie de lieu noir".


Filetage d'un grenadier dans un atelier de marée. Ce poisson, qui est toujours vendu en filet, présente une chair incolore, inodore et sans saveur, des qualités qui répondent parfaitement aux tendances d'un marché demandeur en filet blanc.


La chair du grenadier, très fragile, ne supporte qu'une cuisson très légère. Le rendement est faible, les filets représentant seulement 37 % du poids total de ce poisson.


  • Le CIEM estime que le chalutage profond dans l’Atlantique Nord-Est a entraîné une baisse de 80 % des stocks de grenadiers


Les requins profonds

  • REQUINS PROFONDS : SIKI/SAUMONETTE, Centrophorus granulosus et squamosus, Centroscymnus coelolepis, Dalatias licha, Galeorhinus galeus, Mustelus mustelus, Squalus acanthias
  • Un petit requin, le siki

Le siki est un petit squale. "Son foie, chargé de réserves lipidiques, fournissait le squalène, une huile d'intérêt pharmaceutique et cosmétologique". Au début des années 90, les pêcheurs ont pêché le siki pour son huile. "Les prix de l'huile s'élevaient à 15 F le kilo, ce qui a encouragé nombre de bateaux à s'y mettre. Les cours s'étant effondrés à 5 F, nous avons abandonné les foies et chercher à valoriser la chair, que nous vendons comme celle des autres squales, à des prix de l'ordre de 8 F".

Le siki est vivipare. Les ovaires produisent en moyenne 14 oeufs par portée, qui, après fécondation, se développent dans l'utérus. Le petit siki mesure 30 cm à sa naissance et pèse 60 grammes de plus que l'oeuf. Ce gain de poids est obtenu par une alimentation particulière, provenant de sécrétions de l'utérus. On ignore la durée du cycle et de la gestation

  • Le requin grande gueule(4,5 m de long, 750 kg) représente une nouvelle famille


La raie Hexatrygon bickelli

La raie Hexatrygon bickelli représente une nouvelle famille


Le brosme

  • Le brosme est un membre de la famille de la morue, les gadidés. Ses noms anglais sont cusk, torsk, tusk ou brosmius. Il semble être une espèce menacée dans l'Est du Canada. Par son corps allongé, il ressemble davantage à la merluche, dont il se distingue par une nageoire dorsale unique. D'une taille pouvant atteindre 1 mètre pour un poids de 13 kg, le brosme se reconnaît, entre autres, à sa nageoire dorsale unique qui, comme sa nageoire anale, rejoint sa nageoire caudale. Sa coloration va du rouge foncé ou du brun verdâtre au jaune pâle sur le dos et se dégrade en crème jusqu'au ventre. Ses nageoires impaires suivent la couleur du corps et portent une ligne noire près de la marge. Les nageoires pectorales et pelviennes sont de même teinte que les flancs avec du noir au bout. Sa tête évoque un peu la morue, en pointe arrondie et aplatie sur le dessus, avec un barbillon un peu plus long que son diamètre oculaire. Les jeunes exemplaires ont quelques bandes verticales jaunâtres sur les flancs. Le brosme est essentiellement un poisson nordique des eaux profondes, récolté toute l'année par les pêcheurs côtiers, pré-côtiers et hauturiers à la palangrotte, à la palangre et au chalut à panneaux. Le brosme est un poisson solitaire à nage lente. Il ne migre que rarement d'un banc à l'autre, il préfére les fonds durs et accidentés, où il paresse, et fréquente occasionnellement les substrats vaseux, mais non les fonds sablonneux. Il se tient dans des eaux froides (de 0 à 15°C), à des profondeurs allant de 50 à 1 000 mètres.

Sabre noir

  • SABRE NOIR Aphanopus carbo

L'exploitation du sabre noir Aphanopus carbo dans l'Atlantique est un des rares exemples de pêche en eaux profondes qui a été durable sur une période d'environ 150 ans, car traditionnellement pratiquée au moyen d'une ligne et d'hameçons. Les adultes sabre noir sont benthopélagiques et vivent à des profondeurs comprises entre 400 et 1600 m. La pêche du sabre noir a débuté dans l’Atlantique au milieu des années 80 (Portugal d’abord, puis France à partir du début des années 90). On retrouve le sabre noir du Groenland aux îles Canaries et des deux côtés de la dorsale médio-atlantique. Fait rare pour une espèce d'eaux profondes, le sabre noir a une croissance rapide et vit environ 8 ans. Cependant, comme pour l'hoplostète orange, les signes habituels de danger se font déjà sentir pour la pêche au sabre noir. Les prises sont passées de 1100 tonnes en 1980 à 3000 tonnes en 1992

La tête de sabre est plutôt effrayante ; c'est pourquoi elle est coupée à bord, ce qui permet aux mareyeurs d'acheter un produit facile à fileter et à vendre.

- Le sabre, un fois préparé, offre deux très longs filets blancs sans arêtes, avec un excellent rendement. La peau, très fragile, est déjà arrachée par le frottement dans le chalut.


Les macrouridés

  • Autre groupe de poissons dont les membres sont très courants, voire abondants dans certaines régions : les Macrouridés. Les Macrouridés sont des "croiseurs" pélagiques qui vivent dans les couches moyennes à supérieures du talus continental. Dans l'Atlantique Nord, Macrourus berglax et Coryphaenoides rupes sont exploités avec des chaluts de fond qui, au début, étaient calés à des profondeurs de 600 à 800 m, mais qui, ces derniers temps, vont jusqu'à 1500m de profondeur.

Cependant, ce type de pêche pratiqué au large de Terre-Neuve a montré que les débarquements signalés pour ce groupe indiquaient la tendance, malheureusement par trop habituelle, d'un déclin du total des prises. Coryphaenoides rupestris peut vivre jusqu'à 70 ans, alors que dans l'Atlantique Nord-Est, l'âge maximal des poissons est généralement compris entre 20 et 30 ans.

Ainsi, à l'instar d'autres espèces d'eaux profondes, les Macrouridés présentent les caractéristiques de nombreuses pêches d'eaux profondes, ce qui les rend vulnérables à la surpêche.

La lingue bleue

  • LINGUE BLEUE Molva dypterygia

La pêche de la lingue bleue existe dans l’Atlantique Nord depuis les années 50 (Norvège, Allemagne).

Le grenadier de roche et la lingue bleue : Le CIEM estime que le chalutage profond dans l’Atlantique Nord-Est a entraîné une baisse de 75 % des stocks de lingues bleues, par rapport « au niveau initial ». Cependant, ce déclin est sans doute beaucoup plus important, étant donné que les estimations démarrent avec l’analyse des données de captures, c’est-à-dire bien après que l’exploitation de ces espèces ait commencé.

Les Pleuronectidés

  • Les Pleuronectidés forment un groupe de poissons très évolué qui, en règle générale, n'est pas associé à la pêche en eaux profondes, mais dans l'Atlantique Nord et dans le Pacifique Nord, certaines espèces du groupe font l'objet d'une exploitation importante. Dans l'Atlantique, la pêche la plus connue est celle du flétan noir (Reinhardtius hippoglosoides) dans les profondeurs du talus continental.


Le flétan noir

  • FLETAN DE L’ATLANTIQUE (FLETAN COMMUN) Hippoglossus hippoglossus ANE
  • le flétan noir ou « flétan du Groenland » (Reinhardtius hippoglossoides),


La taille du flétan noir a diminué au cours de la dernière décennie

Le flétan noir, qui pesait en moyenne un kilogramme au milieu des années 1980, ne pèse plus en moyenne que 200 g depuis le début des années 1990.

- La pêche du flétan noir existe dans l’Atlantique Nord depuis les années 50 (Norvège, Allemagne). Idem pour la pêche de la lingue franche, du brosme, de la mostelle de fond.


Les ceintures d'argent

  • Les ceintures d'argent (Trichiuridés) sont pêchées dans les îles du Pacifique


L'escolier serpent

  • La pêche à l'escolier serpent (Gempylidés) se pratique dans les îles du Pacifique



Des poissons d'eau profonde dans les cantines scolaires

Selon une enquête sur l’approvisionnement en poissons de la restauration collective dans les cantines scolaires :

  • qu’il n’existe aucune information détaillée à destination des parents sur la provenance et le choix des produits de la mer servis à leurs enfants.
  • 6 millions d’écoliers français mangent quotidiennement à la cantine et consomment régulièrement des espèces de poissons profonds dont certaines sont menacées d’extinction.
  • Les écoliers sont ainsi malgré eux complices de la surpêche, de l’extinction d’espèces et de la destruction de l’environnement marin.
  • 90 % des communes interrogées déclarent servir du poisson issu des eaux profondes dans les cantines.
  • Les principales espèces profondes qui apparaissent dans les menus scolaires sont le hoki (Macruronus novaezelandiae et Macruronus magellanicus), la dorade sébaste (Sebastes marinus et Sebastes mentella), le grenadier de roche (Coryphaenoides rupestris) et la lingue bleue (Molva dypterygia).
  • Le hoki de Nouvelle-Zélande (Macruronusnovae zelandiae) et de Patagonie (Macruronus agellanicus) et le colin d’Alaska (Theragra chalcogramma) sont servis par 85 % des villes interrogées
  • La saumonette est souvent servie dans les écoles (en fait, il s'agit d'espèces de requins commercialisées sous le nom rassurant de « saumonette ») fait l’objet d’un classement à la liste rouge de UICN:

- l’aiguillat commun (Squalus acanthias), est « en danger critique d’extinction » en Atlantique Nord-Est, ayant subi une chute de biomasse de plus de 95 % dans la zone - Le pailona commun (Centroscymnus coelolepis) et le squale chagrin de l’Atlantique (Centrophorus squamosus) sont classés comme « vulnérables ou quasi menacés ». Q - Le requin-chagrin, (Centrophorus granulosus) est « en danger critique d’extinction » en Atlantique Nord-Est,

(enquête de l’association Bloom, auprès des mairies et des sociétés de restauration collective pour en savoir plus sur les poissons servis à la cantine dans les écoles maternelles et élémentaires publiques des trente plus grandes communes françaises et des vingt arrondissements parisiens. Sur cinquante questionnaires envoyés, vingt ont été remplis, correspondant à 2,5 % des écoles et 5,92 % des demi-pensionnaires de maternelle et primaire de France)


Au sujet de l'achat de poisson


  • Pour compléter cette partie du Guide d'achat poissons, consulter l'article Apports nutritionnels des poissons qui détaille les qualités nutritionnelles des poissons et leur mode de consommation.

sources : ifremer, gouvernement, bloomassociation.org/bloom/download/PEWTop10FR.pdf, FAO, François Latour in "Au coeur des océans", CIEM (Conseil International pour l’Exploration de la Mer : 2010, Report of the ICES Advisory Committee, http:/ /onmangequoi.lamutuellegenerale.fr/encyclopedie/les-aliments / Seafood Choices Alliance, 2008. « Guide des espèces à l’usage des professionnels », p.51

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