Couche d'ozone
Un article de Encyclo-ecolo.com.
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Le trou dans la couche d’ozone a atteint une<strong> taille record en 2006</strong>. Pourquoi ce trou dans la couche d’ozone, situé au dessus de l’Antarctique, n’a-t-il pas diminué alors que les CFC, ces gaz qui étaient utilisés dans nos réfrigérateurs et étaient accusés d’être les responsables de la destruction de l’ozone, ont été interdits ? | Le trou dans la couche d’ozone a atteint une<strong> taille record en 2006</strong>. Pourquoi ce trou dans la couche d’ozone, situé au dessus de l’Antarctique, n’a-t-il pas diminué alors que les CFC, ces gaz qui étaient utilisés dans nos réfrigérateurs et étaient accusés d’être les responsables de la destruction de l’ozone, ont été interdits ? | ||
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C’est en 1987 que le protocole a banni les <strong>CFC</strong> mais, d’après Didier Hauglustaine,<span style="color: rgb(255, 0, 0);"> il faudra attendre autour de 2060</span> <strong>pour que le trou soit rebouché</strong> : les CFC sont en effet des gaz très stables et il leur faut des dizaines d’années avant de se dégrader en haute altitude. | C’est en 1987 que le protocole a banni les <strong>CFC</strong> mais, d’après Didier Hauglustaine,<span style="color: rgb(255, 0, 0);"> il faudra attendre autour de 2060</span> <strong>pour que le trou soit rebouché</strong> : les CFC sont en effet des gaz très stables et il leur faut des dizaines d’années avant de se dégrader en haute altitude. |
Version du 1 janvier 1970 à 00:00
Le trou dans la couche d’ozone a atteint une taille record en 2006. Pourquoi ce trou dans la couche d’ozone, situé au dessus de l’Antarctique, n’a-t-il pas diminué alors que les CFC, ces gaz qui étaient utilisés dans nos réfrigérateurs et étaient accusés d’être les responsables de la destruction de l’ozone, ont été interdits ?
C’est en 1987 que le protocole a banni les CFC mais, d’après Didier Hauglustaine, il faudra attendre autour de 2060 pour que le trou soit rebouché : les CFC sont en effet des gaz très stables et il leur faut des dizaines d’années avant de se dégrader en haute altitude.