Transports collectifs
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(transports collectifs, transports en commun) |
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La part des transports collectifs routiers ré-augmente légèrement depuis 2003 après être passée de près de 7 % en 1980 à 4,8 % en 2001. Elle atteint 5,6 % en 2010. Les transport aérien intérieur tend à diminuer légèrement (1,4 % en 2010) après avoir atteint un pic (1,8 %) en 2000. | La part des transports collectifs routiers ré-augmente légèrement depuis 2003 après être passée de près de 7 % en 1980 à 4,8 % en 2001. Elle atteint 5,6 % en 2010. Les transport aérien intérieur tend à diminuer légèrement (1,4 % en 2010) après avoir atteint un pic (1,8 %) en 2000. | ||
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+ | <H3> Mobilité : les transports urbains ont le vent en poupe !</H3> | ||
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+ | Fluidité du trafic, économie d'énergie, anti-pollution, rapidité... les qualificatifs positifs des transports en commun ne manquent pas. Mais, la rançon de ce succès apporte aussi ses incommodités, l'utilisation de ce moyen augmentant, les dessertes ne sont plus en nombre suffisant. Par conséquent, les voitures des voyageurs sont saturées et rendent problématique la circulation des personnes. | ||
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+ | Comment suivre l'évolution de cette « consommation » des transports ? Quelles sont les tendances innovantes pour répondre à ces nouveaux besoins ? Les acteurs du transport travaillent sur des solutions au quotidien, c'est le cas de Fläkt Solyvent-Ventec, leader de la ventilation industrielle, qui s'efforce de contribuer au bien-être des individus. | ||
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+ | En France, les émissions de CO2 par trajet sont de 150g/km par voyageur qui utilise une voiture, 66 g/km pour le bus, seulement de 2 g/km pour le train et 0,6 g/km pour le tramway ! Au-delà de la prise de conscience individuelle sur l'état de notre environnement, les raisons qui poussent à l'utilisation des transports en commun sur ces 10 dernières années résident dans de nombreux facteurs comme la hausse du carburant et la saturation du réseau routier. | ||
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+ | C'est ainsi que l'importance des flux des voyageurs, sur le ferroviaire en particulier, n'a cessé d'augmenter, notamment dans les grandes agglomérations de plus d'un million d'habitants qui empruntent chaque jour métros et trains interurbains. | ||
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+ | Victimes de leur succès, ceux-ci sont aujourd'hui saturés et véhiculent une image négative : inconfort, manque d'espace, impossibilité pour les handicapés d'accéder à une place suffisante, retard lié à l'attente d'une voiture disponible... la situation devient critique. | ||
Version actuelle
Les transports collectifs
- Les transports collectifs ne sont utilisés que pour 17% des déplacements en France.
Les transports collectifs représentent 16,8 % des déplacements intérieurs de voyageurs (voyageurs-km parcourus en 2010). Mais, après une longue période à la baisse, la part des transports collectifs augmente, depuis 1995 pour les transports collectiffs ferroviaires et depuis 2002 pour les autocars et autobus.
Le transport aérien recule légèrement au profit du ferroviaire (Insee)
Les transports intérieurs de voyageurs totalisent 889 milliards de voyageurs-km en 2010 ; leur croissance est ralentie depuis 2002. La part des transports collectifs augmente depuis 2003 après avoir longuement reculé. Après une baisse continue de 1986 à 1994, la part du rail a augmenté jusqu'en 2007. Elle atteint 11,2 % en 2010 (contre 8,5 % en 1995).
La part des transports collectifs routiers ré-augmente légèrement depuis 2003 après être passée de près de 7 % en 1980 à 4,8 % en 2001. Elle atteint 5,6 % en 2010. Les transport aérien intérieur tend à diminuer légèrement (1,4 % en 2010) après avoir atteint un pic (1,8 %) en 2000.
Mobilité : les transports urbains ont le vent en poupe !
Fluidité du trafic, économie d'énergie, anti-pollution, rapidité... les qualificatifs positifs des transports en commun ne manquent pas. Mais, la rançon de ce succès apporte aussi ses incommodités, l'utilisation de ce moyen augmentant, les dessertes ne sont plus en nombre suffisant. Par conséquent, les voitures des voyageurs sont saturées et rendent problématique la circulation des personnes.
Comment suivre l'évolution de cette « consommation » des transports ? Quelles sont les tendances innovantes pour répondre à ces nouveaux besoins ? Les acteurs du transport travaillent sur des solutions au quotidien, c'est le cas de Fläkt Solyvent-Ventec, leader de la ventilation industrielle, qui s'efforce de contribuer au bien-être des individus.
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En France, les émissions de CO2 par trajet sont de 150g/km par voyageur qui utilise une voiture, 66 g/km pour le bus, seulement de 2 g/km pour le train et 0,6 g/km pour le tramway ! Au-delà de la prise de conscience individuelle sur l'état de notre environnement, les raisons qui poussent à l'utilisation des transports en commun sur ces 10 dernières années résident dans de nombreux facteurs comme la hausse du carburant et la saturation du réseau routier.
C'est ainsi que l'importance des flux des voyageurs, sur le ferroviaire en particulier, n'a cessé d'augmenter, notamment dans les grandes agglomérations de plus d'un million d'habitants qui empruntent chaque jour métros et trains interurbains.
Victimes de leur succès, ceux-ci sont aujourd'hui saturés et véhiculent une image négative : inconfort, manque d'espace, impossibilité pour les handicapés d'accéder à une place suffisante, retard lié à l'attente d'une voiture disponible... la situation devient critique.
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