50 idées reçues sur l'environnement
Un article de Encyclo-ecolo.com.
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=== Au sujet des idées reçues et de l'environnement === | === Au sujet des idées reçues et de l'environnement === | ||
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Version du 26 mars 2014 à 16:41
Les idées reçues sur l'environnement et l'écologie
Idées reçues et environnement : les questions du quotidien
L'écologie n'est pas noir et blanc, mais quelque chose de complexe ... la preuve, on se trompe souvent.
Florilège d'idées reçues sur l'environnement ... vraies ou fausses ? pas si simple de répondre parfois, oui mais pas trop est souvent la bonne réponse
Idée reçue sur l'environnement, n°1 : Il vaut mieux jeter les cendres de sa cheminée
Oui, utiliser les cendres de sa cheminée dans le jardin plutôt que les jeter directement à la poubelle est très utile. Les cendres de bois sont une précieuse ressource. Mais en trop grande quantité,elles peuvent se montrer nocives. Laissée à la surface du sol, la cendre de bois endommage la structure de la terre qui s'asphyxier. La cendre de bois est donc utile au jardin mais en quantité limitée : 70 g par m2 et par an disent les jardiniers écologiques, soit 2 poignées moyennes. Épandez-la cendre en hiver ou gardez-en pour l'épandre au printemps entre vos plantations. La cendre de bois sur la pelouse La pelouse apprécie la cendre qui, à la dose indiquée, favorise l'activité des micro-organismes et des lombrics, ce qui améliore l'infiltration de l'eau et limite ainsi la mousse. La cendre en elle-même ne détruit pas la mousse, contrairement aux idées reçues.
Non, car vous pouvez en faire aussi de nombreux usages dans la maison : nettoyer les vitres, faire la lessive ou la vaisselle, etc....
Idée reçue sur l'environnement n°2 : La bouillie bordelaise c'est écolo pour le jardin
Vrai et faux à la fois
VRAI : La bouillie bordelaise s’applique avec modération. La bouillie bordelaise est un mélange de sulfate de cuivre et de chaux utilisé en jardinage comme fongicide, pour tuer les champignons des végétaux.
Dosez votre bouillie bordelaise en fonction de son usage et des maladies à traiter, sans jamais dépasser les doses de sulfate de cuivre indiquées dans la recette. Trop dosée, votre bouillie bordelaise brûlera le feuillage et vos jeunes pousses. En usage préventif, vous mettez un peu moins de bouillie bordelaise qu'en usage curatif
MAIS La bouillie bordelaise est une solution moins toxique pour la nature que les autres fongicides, mais à utiliser avec modération. En trop grande quantité la bouillie bordelaise conduit à un excès de cuivre et pollue les sols.
Idée reçue sur l'environnement n°3: Dans le nord, les panneaux solaires ne sont pas efficaces
FAUX L'énergie solaire marche par tous les temps et donc partout : un générateur photovoltaïque installé dans le sud de la France produit en moyenne 30 à 40% plus d’électricité qu’une installation identique implantée dans le Nord. L’énergie moyenne apportée par le rayonnement solaire varie entre 3 kWh/m2 par jour dans le Nord de la France et 5 kWh/m2 par jour dans le sud. Le Nord et l’Est sont donc des régions rentables pour le photovoltaïque.
Par exemple une résistance électrique située dans le chauffe-eau solaire, permet d’assurer la disponibilité de l’eau chaude quelles que soient les conditions d’ensoleillement. Le système est donc efficace partout en France. Ainsi, en 2004, la région Pays-de-Loire s’est hissée à la seconde position en termes de nouvelles installations solaires. Et pourtant, elle n’est pas vraiment réputée pour son ensoleillement…
La France reçoit en moyenne 2000 heures d'ensoleillement par an ce qui correspond à une énergie solaire incidente sur le plan horizontal de 1300 kWh/m2/an. L’ensoleillement varie entre 1.500 heures/an à Charleville-Mézières, et 2.946 heures/an à Aix-en-Provence, soit une production photovoltaïque comprise entre 1.200 et 2.500 €.
Exemple : si vous habitez dans le Bas-Rhin (Nord de l'Alsace) vous aurez moins de 1750 h d'ensoleillement par an.
En déduisant les aides du prix de l’installation, on obtient bien un retour sur investissement compris entre 6 et 10 ans.
Idée reçue sur l'environnement n° 4 : ll faut laver les boites de conserve
FAUX Cela ne sert à rien de laver les boîtes de conserves avant de les jeter. Laver les conserves, c'est gaspiller de l'eau. Bien vider les restes suffit largement car les traces qui subsistent ne résisteront pas à la chaleur des fours lors du recyclage. Et n'oubliez pas : huit boîtes de conserve en acier recyclées permettent de fabriquer une casserole.
Idée reçue sur l'environnement n°5 : Il vaut mieux faire la vaisselle à la main
Il vaut mieux faire la vaisselle à la main : voir Vaisselle et environnement
Idée reçue sur l'environnement n° 6 : Le diesel pollue moins que l'essence
Le diesel pollue moins que l'essence ? FAUX : le diesel est interdit dans certains pays. Le diesel dégage des particules fines cancérigènes. Un moteur diesel est au final plus nocif pour la santé qu'un équivalent essence. voir Quel moteur pollue le moins : essence ou diesel ?
Idée reçue sur l'environnement n° 7 : il ne faut pas mettre de plante dans sa chambre
Il vaut mieux ne pas dormir avec une plante dans sa chambre ?
FAUX, au contraire : Vous aussi, vous craigniez qu'une plante ne vous intoxique avec le carbone qu'elle rejette la nuit ? C'est une idée reçue ! Contrairement à ce que l'on croit, la photosynthèse ne s'inverse pas la nuit. La photosynthèse s'arrête tout simplement. Le jour, la plante absorbe du carbone et produit de l'oxygène.
Donc, la plante respire le jour et la nuit. Une plante dégage donc toujours du carbone, mais en quantité infime – aucun impact sur la santé. Cependant, uUne plante peut quand même assainir l'air d'une pièce. Lire sur les plantes dépolluantes : Les plantes dépolluantes, vous connaissez ?
Idée reçue environnement n° 8: Manger de la viande, c'est bon pour l'environnement
FAUX Bien au contraire. Il faut 30.000 à 60.000 litres d'eau pour faire 1 kg de viande de bœuf.
Lire Un rapport effrayant sur la viande ou J'arrête de manger de la viande
Idée reçue sur l'environnement n° 9 : Utiliser des baguettes jetables en bois, c'est écolo
FAUX : On estime que 70 milliards de paires de baguettes jetables en bois sont fabriquées chaque année ... le plus souvent en bambou. soit 1,7 million de m3 de bois.
Llire Je n'utilise plus de baguettes jetables
Idée reçue sur l'environnement n°10 : L'encens c'est pour assainir l'air
FAUX Parfums et désodorisants d'intérieur dégagent des substances chimiques et polluent votre maison. L'encens aussi ! L'encens émet du benzène et du formaldéhyde.Le papier d'Arménie, lui, en émet des quantités beaucoup moins importantes. Lire : Alerte aux désodorisants d'intérieur
Idée reçue sur l'environnement n°11 : En ville, il vaut mieux ne pas ouvrir ses fenêtres
- FAUX ; la pollution de l'air intérieur est bien supérieur à la pollution de l'air extérieur. Voir Pollution de l'air intérieur
Idée reçue sur l'environnement n°12 : Les gratte-ciels, c'est mauvais pour l'environnement
- Plutôt FAUX : les gratte-ciels, en proportion, ont un moindre impact sur l'environnement que les zones pavillonnaires ou l'habitat dispersé. En revanche, les gratte-ciel sont catastrophiques pour les oiseaux qui n'arrivent pas à les déceler et s'y tuent suite à des collisions.
Idée reçue sur l'environnement n° 13: les maisons en bois brûlent plus facilement
FAUX
- les maisons en bois, en cas d'incendie, résistent plutôt mieux que les autres. Contrairement, à une idée reçue et à l'intuition, le bois s'enflamme certes vite, mais le bois se consume assez lentement. Aussi, les structures de maison en bois conservent plus longtemps que les autres leurs capacités portantes, ce qui retarde l'effondrement en cas d'incendie. Autre qualité du bois : le bois ne produit pas de fumée nocive quand il brûle. Ce qui est important car la première cause des décès lors d'incendies est l'intoxication par les fumées, notamment le monoxyde de carbone. Les maisons en bois brûlent plus facilement
Idée reçue sur l'environnement n°14 : La route tue plus que la pollution
- FAUX Il suffit de jeter un oeil sur la rubrique mortalité du Planetoscope pour voir que la pollution de l'air est bien plus mortelle. On estime que l’exposition chronique à la pollution atmosphérique est responsable de plus de 30 000 décès par an en France. millions de personnes meurent dans le monde à cause de la pollution atmosphérique. Les accidents de la route ont causé, quant à eux, en 2005, la mort de 4 900 personnes et de 1,9 million de personnes dans le monde. 1 800 vies pourraient être épargnées chaque année en France si la pollution urbaine était réduite, ne serait-ce que de moitié selon le PSAS-9, Programme de surveillance air et santé dans neuf villes françaises.
Idée reçue sur l'environnement n°15 : Les produits écologiques sont plus chers
FAUX
Cette "idée reçue" provient essentiellement du secteur du textile bio ou de l'alimentation bio où, c'est vrai, les prix sont plus élevés. Ce n'est pas vrai de la puériculture bio, ou bien des produits de d'entretien écologique.
La cosmétique bio, par exemple, est non seulement de meilleure qualité et plus saine, mais en moyenne moins chère que les produits de beauté traditionnels. Pourquoi ? Parce qu'on ne paie pas pour des marques prestigieuses. Pour tout ce qui concerne, les économies d'énergie ou d'eau (chargeurs solaires, réducteurs pour robinet, ...), par définition ils font
du bien au porte-monnaie. Autre source d'économie des produits écologiques, la quantité de produits car on consomme moins de produits de meilleure qualité. Chez consoGlobe on sélectionne un produit 'vert' en fonction de son impact budget *et* écologique sur la durée et pas seulement à l'achat :c'est tout au long de sa vie qu'il fait faire des économies.
Idée reçue sur l'environnement n°16 : Les jardiniers polluent moins que les agriculteurs
FAUX car en proportion, les jardiniers "du dimanche" ont la main lourde sur les pesticides et les phytosanitaires en général. Le milieu non-agricole (jardiniers amateurs, collectivités locales) représente 5% des usages de pesticides en France et pourrait être à l’origine d’une part importante de la pollution de l’eau. Pratiquement tous les jardiniers amateurs ont utilisé ou utilisent des pesticides sans avoir conscience de la dangerosité de ces produits pour eux ou la nature.
"Sans en avoir conscience, les jardiniers du dimanche peuvent commettre de gros dégâts. Les 17 millions de Français qui cultivent un bout de jardin, un potager, ou qui entretiennent soigneusement leur pelouse utilisent des pesticides. Au total, le million d’hectares de jardins, privés ou collectifs, reçoit, chaque année, 5.000 tonnes d’herbicides, de fongicides et d’insecticides.
Ce tonnage est, certes, 20 fois inférieur à celui épandu par les agriculteurs. Ce qui ne veut pas dire qu’il soit inoffensif. En effet, les désherbants utilisés sur des surfaces imperméables ou peu perméables (trottoirs, cours bitumées ou gravillonnées, pentes de garage…) se retrouvent dans les eaux superficielles ou souterraines et entraînent très souvent, du fait d’une faible infiltration une pollution des eaux liée au ruissellement. Par ailleurs ces usages de proximité sont susceptibles d’exposer fortement les jardiniers amateurs, et leurs proches, d’autant plus que ces utilisateurs sont moins conscients des risques posés par ces produits et des bonnes règles d’utilisation.
Conséquence: «Les conséquences potentielles pour l'homme et l'environnement de l'utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les zones non agricoles représentent donc aujourd'hui un enjeu de société majeur», écrit le ministère en charge de l’écologie dans un communiqué.
Pour réduire le risque, la secrétaire d’Etat à l’écologie a signé, vendredi 2 avril, un accord-cadre sur l’usage des pesticides par les jardiniers amateurs. Première concrétisation de l’accord Ecophyto 2018 (qui prévoit la réduction de moitié de l’usage des pesticides d’ici 2018), cet accord entend faire connaître les pratiques culturales sans produits chimiques. Il veut aussi soutenir les démarches permettant d’améliorer la connaissance individuelle des jardiniers, notamment celle des organismes nuisibles, et la formation des vendeurs. Un accord comparable devrait être conclu avec les représentants du monde agricole dans le courant du mois de juin." source JDLE
Voir tous les articles sur les pesticides et les pesticides bio
Idée reçue sur l'environnement n°17: Le lino, c'est un revêtment mauvais pour l'environnement
FAUX. Encore une idée reçue sur les produits écologiques. Voir l'article sur le linoleum
Idée reçue sur l'environnement n° 18 : Le charbon ne représente plus grand chose
FAUX car le charbon est la ressource énergétique la mieux répartie sur tous les continents et ... avec des réserves pour 700 ans encore !
> Voir le dossier Energies renouvelables ou Le nucléaire, seule alternative au charbon ?
Idée reçue écologique n°19 : Les animaux domestiquent ne nuisent pas à l'environnement
FAUX les animaux domestiques des pays sont de vrais consommateurs qui ont un impact sur l'environnement
Lire l'idée reçue sur les animaux domestiques
Idée reçue sur l'environnement n°20 : sans anti-moustique, impossible de se débarrasser des moustiques
Plutôt FAUX, car en effet si les produits chimiques (Bégon, et autres) ont une puissance que ne peuvent atteindre les produits naturels, il reste qu'il existe bien des méthodes pour lutter contre les moustiques, ou les insectes, sans polluer, ni nuire à sa santé ou à l'environnement avec des produits naturels, voire bio.
- Moustiques - anti moustiques
- Huiles essentielles
- La boutique bio pour acheter des huiles essentielles
Idée reçue sur l'environnement n°21 : Les produits bio sont forcément écologiques
FAUX Il est vrai qu'on associe souvent les produits bio à des produits écologiques mais ce n'est pas toujours le cas. En effet, la qualité et l'empreinte écologiques d'un produit dépendent de plusieurs facteurs, de la conception du produit jusqu'à la fin de son cycle de vie.
Idée reçue sur l'environnement n°22 : Faire un barbecue, c'est très écologique
NON car les barbecue au charbon de bois, ont très polluants et toxiques : en brûlant, ils émettent des gaz à effet de serre et des particules fines. Dans le nombreux pays pauvres, le charbon de bois peut être une catastrophe car il accentue la déforestation en plus de contribuer à la pollution atmosphérique.
OUI car au final en terme de C02, le bilan C02 du charbon de bois est neutre au final : en effet, le charbon de bois ne rejette que le CO2 accumulé par le bois durant sa vie. De plus de nombreux charbon de bois produits en France, sont produits à partir de déchets de la filière bois non traités. De plus si vous utilisez un charbon de bois au gaz, la question du charbon de bois ne se pose plus.
Idée reçue sur l'environnement n°23 : ne pas laver sa voiture pollue moins que la laver régulièrement
- Plutôt FAUX. Tout d'abord, laver sa voiture c'est vrai peut ne pas être écologique : il faut en moyenne 400 litres d'eau pour un lavage de voiture (l'équivalent de 3 bons bains) et cette eau, si elle n'est pas récupérée et filtrée comme dans certaines stations de lavage, va charrier les polluants de votre voiture dans le réseau d'eau général. Ceci dit, aujourd'hui, il existe des produits nettoyants pour voiture, sans eau et tout à fait écologiques, à base de produits naturels bet bio. On pourrait penser que le mieux est somme toute de ne pas nettoyer sa voiture... pour ne pas polluer. Et bien non car votre voiture accumule, sur la carrosserie, dans les jantes, tout un tas de polluants qui à chaque fois qu'il pleut vont ruisseler et polluer, où que vous soyez. Il vaut donc mieux nettoyer votre voiture pour que ces polluants soient canalisés et ne finissent pas dans les bas côtés et dans la nature.
Idée reçue sur le solaire n°24 : les panneaux solaires se valent tous
- FAUX ! Il existe différents types de panneaux : des monocristallins aux polycristallins, en passant par les panneaux à silice amorphe, la gamme s’est largement étendue. Tous ne possèdent pas les mêmes caractéristiques, notamment au niveau du rendement. Les panneaux monocristallins ont un rendement de l’ordre de 19 %, tandis que les polycristallins tournent autour de 16 %. La silice amorphe possède le plus bas taux d’efficacité avec un rendement compris entre 5 et 10 %. De même, ils ne sont pas tous égaux face au recyclage, et pour le coup n’ont pas le même impact sur l’environnement.
> Tous les articles sur les panneaux solaires
Idée reçue sur le solaire n°25 : Les tarifs de rachat d’EDF changent tous les ans
FAUX ! Les tarifs de rachat du kWh sont déterminés entre le producteur (vous) et l’acheteur (EDF ou autre)à la signature du contrat de production. Ces tarifs restent valables pendant 20 ans sur l'intégralité de la durée du contrat. Cela ne veut pas dire que les prix sont immuables : ils fluctuent très légèrement. En effet, les tarifs de rachat varient cependant en fonction du coût du travail et l’indice des coûts de production. En conclusion, au niveau actuel des aides et du prix de rachat de 0,58 €/kWh pour une installation de 3 kWc, il est recommandé de réaliser les démarches d'installation en 2010.
Idée reçue sur le solaire n°26 : il vaut mieux consommer l'électricité qu'on produit soi-même que l'acheter à EDF
- FAUX ! La consommation de sa propre production photovoltaïque n'est pas plus avantageuse que de la revendre à EDF. Donc il vaut mieux produire du photovoltaïque pour le vendre et acheter de l'électricité pour la consommer. Prenons un exemple avec une production standard de 3.500 kWh d’électricité par les panneaux solaires photovoltaïques.
Consommer votre propre électricité (à un tarif de vente par EDF de 0.08 €/kWh) correspond à économiser 280 €/an. Revendre cette production électrique rapporte 2.030 € grâce au tarif de rachat à 0.58 €/kWh. Si on enlève à ces recettes le coût de l’électricité que vous auriez consommé (280 €) on obtient une différence en votre faveur de 1750 €. Comme les panneaux reviennent au même prix dans les deux cas, la différence de prix concerne le coût du raccordement au réseau ERDF et la batterie qui sert à stocker votre électricité la nuit. Le prix de telle batterie pour une autonomie d’une nuit est d’environ 400 € et il faut en racheter une tous les 4 à 5 ans. Ainsi tout compris, le coût du raccordement au réseau est d'environ 1.000 € ... CQFD
Idée reçue sur l'environnement n°27 : Il ne faut jeter pas les bouteilles plastique avec leur bouchon
- Il faut laver les emballages et ôter les bouchons des bouteilles plastiques avant de les trier : c'est une idée reçue très fréquente.
Faux ! Il n’est pas utile d’enlever les bouchons des bouteilles plastiques puisque comme les bouteilles ils sont recyclables. Il est conseillé d’enlever le bouchon dans un premier temps pour compresser la bouteille mais une fois la bouteille aplatie, remettre le bouchon permettra de maintenir la bouteille aplatie puisqu’aucun gaz ne pourra ni entrer ni sortir. Il faut laver les emballages et ôter les bouchons des bouteilles plastiques avant de les trier. > Le tri des bouchons et bouteilles plastiques
Idée reçue sur l'environnement n°28 : Porter de la fourrure n'est jamais écolo
Idée reçue sur l'environnement n°29 : Les vêtements en coton, c'est écolo
- Faux ! Le coton est une culture qui consomme énormément d’eau, et doit donc croître dans des régions où la pluviométrie est abondante ou bien sur sol irrigué. Le coton est le troisième consommateur d’eau d’irrigation de la planète, après le riz et le blé. Il faut entre 7 000 et 29 000 litres d’eau pour produire un kilo de coton, alors que 900 litres sont nécessaires pour un kilo de blé et 1 900 litres pour un kilo de riz. Plus de 50% du coton cultivé dans le monde est irrigué.
De plus de fortes quantités de pesticides sont utilisés pour le protéger des insectes et autres stress de causes exogènes. Selon l'OMS les cultures du coton qui ne représentent que 2% des surfaces cultivées utilisent 25% des insecticides pulvérisées (en 2010). Pour lutter contre les parasites du coton, les agriculteurs des états unis ont même été jusqu’à utiliser de l’arsenic. Les sols sur lesquels on épand de telless quantité de pesticides ne peuvent qu'être pollués, de même les eaux qui transitent par ces cultures amènent les pesticides jusqu'au bassin versant rendant l'eau impropre à la consommation. Aujourd’hui on essaie de trouver des cultures avec de bons rendements et de réduire la quantité de pesticides utilisés, on trouve des cultures OGM qui présentent de bons rendements mais dont on se méfie à cause des transferts de gènes probables, et on trouve des cultures bios dont les rendements sont plus faibles pour une même surface mais qui ne consomme pas de pesticides par contre la charge de travail est plus élevée.
Idée reçue sur l'environnement n°30 : Cyclistes et piétons sont plus exposés à la pollution, les automobilistes sont protégés de la pollution dans leur voiture
- Faux ! Airparif a effectué un test grâce à un vélo équipé de détecteurs d’oxyde d’azote et de particules et a mesuré la pollution subie par un cycliste, il s’avère que grâce aux bandes cyclables, aux pistes cyclables ou aux couloirs de bus, le cycliste est moins confronté à la pollution que s’il était dans le trafic que l’automobiliste, dont l’habitacle n’est pas une protection contre la pollution, puisque si l’air y pénètre moins vite, il y reste aussi plus longtemps.
Pour illustrer ce propos on peut citer un exemple : un cycliste qui emprunte une piste cyclable le long des quais, sur la rive droite de la Seine (entre le 1er et le 4e arrondissement) est 30 à 45% moins exposé aux polluants qu’un individu se déplaçant dans le flux de circulation. On peut étendre ce constat aux piétons… Le cycliste et le piéton ont donc l’avantage d’éviter d’être aux plus proches des polluants, pas les automobilistes.
Idée reçue sur l'environnement n°31 : Utiliser du plastique, c'est sans risque
- Faux ! Utiliser du plastique présente des risques
depuis peu, il a été mis en évidence par des chercheurs que les récipient en plastique en PET(comme les bouteilles d’eau, jouets et autres produits destinés aux enfants) contiennent des phtalates qui agit comme un perturbateur du système endocrinien et qui mettent en danger le système reproducteur masculin, le foie et les reins chez le rat (animal modèle pour étudier les mammifères),il n’a pas encore été prouvé les mêmes effets chez l’homme. Le Bisphénol A, lui, retrouvé dans les plastiques contenant du polycarbonate est un analogue de l’œstrogène, on les retrouve aussi dans les bouteilles en plastique ou les biberons (non commercialisable depuis 2010) ainsi que dans les résines epoxy des boîtes de conserve. C’est donc aussi un composé qui aurait une influence sur notre développement et potentiellement toxique. La libération de bisphénol A est d’autant plus grande que le produit est chauffé. Autres raisons d’éviter le plastique, la majorité ne sont pas biodégradables et sont donc mauvais pour l’environnement, de nombreux plastiques se retrouvent dans l’eau et viennent nuire à la biodiversité marines. Greenpeace en 2010 a dénombré 80 espèces différentes de baleines et 6 espèces de tortues marines piégées dans le plastique. Des lamantins portaient des cicatrices ou ont perdu des palmes à force de s'y enchevêtrer. 56 espèces d’oiseaux de mer en ont également été victimes. Lorsque les plastiques sont dégradés ils se scindent en une multitude de micro-débris dont on ne sait pas le devenir L’ingestion de ces corps étrangers peut provoquer l’obstruction du tube digestif ou donner à l’animal la sensation qu’il est rassasié, avec pour conséquence la malnutrition, la faim, suivie de la mort par inanition. Aujourd’hui on cherche à reproduire les qualités du plastiques à partir de végétaux, par exemple, les plastiques à l’amidon présentent les mêmes avantages que les sacs plastiques de supermarchés mais ont l’avantage d’être 100% biodégradable, par contre on ne peut pas dire que la solution soit durable puisque la consommation d’eau utilisée pour l’élaboration de ce produit est énorme. Le Polyéthylène et le Polypropylène ont l’avantage d’être 100% recyclable, le plastique a donc un avenir si le tri, la collecte et le traitement des déchets est efficace.
Idée reçue sur l'environnement n°32 : Utiliser du papier favorise la déforestation
Faux ! Utiliser du papier ne contribue pas à la déforestation selon la confédération française de l'industrie du papier, carton et cellulose (Copacel) en 2010.
D’une part seul 40% des fibres présentent dans le papier sont des fibres neuves, elles sont en général issues de sciures ou de jeunes arbres qu’il faut couper pour laisser s’épanouir les autres, c'est-à-dire que 60% des fibres présentent dans un papier neuf sont recyclés.
D’autre part les éclaircies pratiqués sur les forêts sont nécessaires à son bon développement, les règles pour les pratiquer sont très strictes, on coupe uniquement les arbres les plus chétifs qui entravent le développement d’autres, dans le but de pouvoir exploiter la ressource de manière durable, de plus les arbres sont prélevés dans des forêts dont la biodiversité est faible
Les forêts françaises augmentent chaque année de 50000 hectares, ce qui implique une diminution des gaz a effet de serre, l’industrie papetière n’est donc pas responsable de la déforestation mais plus de la reforestation, sans aller jusqu’à dire qu’elle permet un regain de biodiversité puisque les forêts exploitées sont en général très homogènes et sont la propriété des industriels du papier.
Enfin nous noterons quand même que l’industrie papetière reste une grande consommatrice d’eau bien que des efforts colossaux ont été faits pour la limiter.Selon le CNRS il faut 40 à 500 litres d'eau pour fabriquer 1 kilogramme de papier, mais seulement 1 à 10 litres pour fabriquer 1 kilogramme de papier recyclé.
Idée reçue environnement n°33 : L’air est plus pollué en ville qu’à la campagne
- FAUX; On peut dire que c’est partiellement faux, puisque pour la majorité des polluants observés la concentration est plus faible en campagne qu’en ville.
En revanche pendant l’été l’ozone a tendance a être plus concentrée en périphérie des banlieues, et les niveaux d’ozone sont donc plus élevés en grande banlieue. Il faut aussi noter que la majorité des polluants émis en ville se retrouvent vite dans la haute atmosphère et sont dispersés par les courants atmosphériques. De plus certains polluants comme les pesticides sont plus concentrés en campagne. La qualité de l’air à la campagne est donc très légèrement meilleure qu’en ville puisque les cellules atmosphériques se chargent de brasser l’ensemble pour le rendre homogène.
Idée reçue sur l'environnement n°34: Un sapin artificiel, c'est mieux pour l'environnement
Faux ! Les sapins naturels ont des effets positifs sur le changement climatique, certes ils sont découpés pour noël afin de décorer nos intérieurs, mais avant cela, ils produisent de l’oxygène et absorbe du CO2 comme tous les végétaux. Il faudrait utiliser un arbre artificiel vingt années de suite pour qu’il présente le même avantage qu’un arbre naturel à ce niveau selon un cabinet d’expert (Ellipsos)
Ils contribuent aussi à éviter le lessivage des sols et limitent ainsi les risques d’inondations et la podzolisation des terres (comprendre l’appauvrissement des sols en matière nutritive par lessivage), ils servent d’habitat à des animaux, ils sont biodégradables et enfin ils créent des emplois.
Petit bémol, malgré ces avantages ils auraient plus d’impacts sur les écosystèmes.
Le bilan est donc plus favorable au sapin naturel.
Idée reçue sur l'environnement n°35 : Il n'y a pas de produit vraiment bio
Faux ! Les produits bios sont caractérisés par de nombreuses exigences : les critères de transformations et de productions doivent respecter l’environnement, l’équilibre écologique, l’autonomie des agriculteurs et le bien être animal, il garantit aussi l’absence d’OGM.
De nombreux agriculteurs se font refuser le label malgré de gros efforts : par exemple si vous êtes le seul producteur de votre campagne à ne pas utiliser de pesticides, il est impossible que le label vous soit attribué puisque votre culture est de toute manière contaminée par les pesticides du champ voisin et il faut au minimum trois ans de cultures sans utilisation de pesticides, engrais chimiques… pour que votre sol atteigne les normes nécessaires à une production dite bio.
En France, lorsqu’un produit respecte toutes ces garanties, on lui attribue un label AB.
Un produit complètement bio est donc un produit qui n’utilisera pas d’insecticides, l’agriculteur utilisera par exemple d’autres insectes entomophages ou du purin pour lutter contre les parasites de ses plantes.
Il pourra aussi alterner plusieurs cultures pour limiter la prolifération de parasites sur ses sols.
Pour fertiliser ses sols et leur permettre une meilleure croissance, il pourra utiliser un compost ou procéder au paillage de ses cultures plutôt que d’utiliser des engrais chimiques.
Bien d’autres alternatives à l’usage d’engrais chimiques et de pesticides ont été élaborées pour permettre aujourd’hui de cultiver bio sans trop augmenter la charge de travail des agriculteurs.
Attention, tout de même un produit peut être bio mais pas forcément écologique : si le coût environnemental lié à son transport est élevé, par exemple une banane ne sera jamais produite en France, elle sera qualifiée de bio mais elle aura fait des kilomètres pour atterrir dans votre panier.
Le mieux est donc de consommer bio et local quand on le peut.
Idée reçue sur l'environnement n°36 : On peut utiliser n'importe quel bois, c'est toujours écologique
Faux ! On peut croire que le bois est par essence un matériau écologique, un arbre lors de sa croissance capte en 60 ans à lui seul une tonne de CO2, mais s’il est brulé cette tonne de CO2 repart à l’atmosphère. Et pour son exploitation : entre le plantage de l’arbre, sa croissance, son transport et son traitement, les machines consomment une partie de ce CO2 pour le transformer. Il est donc important de réduire ces émissions pour que l’exploitation du bois soit durable. Les labels PEFC et HQE sont des labels basés sur des critères environnementaux et permettent d’identifier rapidement un bois écologique. Un bois écologique doit être cultivé sans pesticides, être non traité, il peut de même être recyclé dans la nature sans relâcher de déchets toxiques. Son espace d’exploitation doit être soumis à un plan de gestion permettant une exploitation durable. Veiller aussi à vérifier la provenance du bois que vous achetez, de nombreux bois dits exotiques utilisés par l’industrie du meuble proviennent de déforestations illégales de forêts tropicales en Amazonie, en Indonésie, au Congo. On estime à 40% le taux de bois illégal en France. Le Sapelli utilisé pour les contreplaqués par exemple à un taux d’exploitation limité selon la forêt d’où il est tiré, au-delà d’un seuil déterminé, son exploitation est donc totalement illégale. La certification FSC est donc absolument exigible, elle certifie que la forêt est gérée de manière à fournir une exploitation durable de ses ressources. Pour le bouleau dont la sylviculture est Européenne et Française notamment, vous pouvez acheter sans problème puisque les forêts françaises sont suffisamment bien gérées. Pour ce qui est du tek africain qui sert aux meubles de jardin, il faut absolument exiger une certification qui garantit une exploitation éthique et durable. En Février 2010 Greenpeace a dénoncé un stock illégal de bois à Anvers en provenance du Congo : les entreprises forestières tirent partie des problèmes de gouvernance du pays pour agir en toute impunité. L’exploitation forestière en république démocratique du Congo ne bénéficie pas aux populations locales qui – outre le pillage de leurs essences les plus précieuses comme le Wengé, le Sapelli ou encore l’Afromosia – se voient confrontées à la destruction de leurs ressources et a l’émergence de nombreux conflits sociaux. Préférez donc un bois labellisé FSC ou HQE pour les essences tropicales ou évitez les simplement.
Idée reçue sur l'environnement n°37 : Les éoliennes tuent les oiseaux et font du bruit
- C’est plutôt faux !
Selon l'Ademe, concernant les oiseaux, en Europe, les éoliennes n'en tuent, en moyenne et par an entre 0,4 et 1,2, bien moins que l'hécatombe causée par les lignes électriques par exemple. Une éolienne ancienne fait du bruit, les riverains vous le diront, mais les nouvelles technologies éoliennes n’en font que très peu, on chiffre à 50 dB le son engendré par une éolienne en moyenne, et des technologies toujours plus innovantes apparaissent pour minimiser cette nuisance potentielle (diminution de la vitesse de rotation des pales, engrenages de précision silencieux, montage des arbres de transmission sur amortisseurs, capitonnage de la nacelle).
Les projets éoliens récents doivent tous être soumis à une règlementation stricte : Ils sont par exemple soumis à la règlementation relative à la lutte contre le bruit du voisinage (décret 2006-1099 du 31/08/2006)
De plus, les projets éoliens ne sont pas validés par hasard, une proposition de Zone de développement éolien doit être faite au préfet : démarche qui assure que le projet permettra de fournir de l’électricité à un prix incitative sans dégrader l’attractivité de la zone (vent suffisant, facilité de raccords au réseau électrique, pas de dégradation du paysage), des études sont aussi réalisées sur l’avifaune : les projets sont mis en place en dehors de couloirs de migrations des oiseaux ou de zones sensibles pour les oiseaux nicheurs, des suivis sur les populations d’oiseaux permettent de minimiser les risques.
L’éolien est donc une technologie qui est implantée en prenant en compte des critères environnementaux, esthétiques et éthique et qui permet de fournir de l’énergie durablement.
> En savoir plus : Les éoliennes tuent-elles les oiseaux ?
Idée reçue sur l'environnement n°38: Ne pas utiliser de bouchons en liège, c'est mieux pour la nature
Faux ! Le bouchon de liège est bon pour l’environnement. Selon une enquête réalisée par l’Institut supérieur agronomique de Lisbonne, les capacités de rétention de CO2 des forêts de liège du Portugal (leader mondial du liège) atteignent à elles seules 4,8 millions de tonnes par an, soit environ 5 % des émissions totales du pays. Il existe même des bouchons de lièges certifiés FSC (Forest Stewardship Council), certification qui garantit une exploitation durable de la ressource. Les détracteurs du liège leur reprochent aussi d’utiliser beaucoup d’eau mais le chêne liège est un arbre méditerranéen qui peut donc supporter des périodes de sécheresse grâce à de nombreuses particularités anatomiques en été et son exploitation n’est donc pas gourmande en ressource aqueuse. Il est aussi important de signaler que les arbres ont un rôle important dans la rétention d’eau et la stabilisation des sols. Il est aussi à noter que les forêts de chênes liège peuvent être un refuge pour la faune sauvage et donc qu’ils ont un impact positif sur les écosystèmes sans aller jusqu'à dire qu’ils permettent à une grande biodiversité de s’épanouir, puisqu’une forêt utilisée pour l’exploitation industrielle est plus ou moins homogène en terme d’essences végétales. Il est donc indéniable que favoriser l’utilisation de bouchon de liège est positif pour l’environnement, certainement plus que les bouchons synthétiques qui ne sont pas une ressource durable.
Idée reçue sur le solaire n°39 : les panneaux solaires ne sont pas rentables du fait d'une durée de vie trop courte
FAUX ! Les panneaux en eux-mêmes ont une durée de vie comprise entre 20 et 35 ans suivant les modèles. Le minimum de 20 années de fonctionnement correspond à la durée du contrat proposé par EDF. Donc, à moins d’un dysfonctionnement, les panneaux ne posent statistiquement pas de problèmes pour que l’opération soit rentable. La question du recyclage des panneaux se pose tout naturellement après. Il faut savoir que de grands progrès ont été fait à ce niveau, car désormais l’empreinte écologique d’un panneau standard est compensée en 3 ou 4 ans. Ainsi, une grande partie du panneau est revalorisable.
Idée reçue n°40 : un produit sans sucre ne contient pas de sucre
Faux ! voir l'article Les produits sans sucre ... avec sucre
table. La question du recyclage des panneaux se pose tout naturellement après. Il faut savoir que de grands progrès ont été fait à ce niveau, car désormais l’empreinte écologique d’un panneau standard est compensée en 3 ou 4 ans. Ainsi, une grande partie du panneau est revalorisable.
Idée reçue n°41 : Il faut laver la vaisselle à l'eau chaude
FAUX : il faut rincer la vaisselle à l’eau froide :
Pour bien faire la vaisselle, il faut :
*laisser couler quelques litres avant d’en consommer après une absence de plusieurs jours du domicile;
- pour la boisson, l’eau de cuisson, mais aussi l’eau du rinçage de la vaisselle, n’utiliser que l’eau froide, car l’utilisation d’une eau à une température élevée favorise la migration des métaux dans l’eau;
- l’eau froide conservée au frais doit l’être dans un récipient couvert, maximum 48h. Le récipient doit être rincé avant d’être réutilisé;
- si la saveur ou la couleur de l’eau change, signalez le à votre distributeur
Pour tout renseignement complémentaire, s’adresser à l’Agence Régionale de Santé qui vous concerne
Idée reçue n°42 : les éoliennes produisent plus en été
FAUX : les éoliennes produisent plus en hiver. D'après RTE, les éoliennes produisent le plus en hiver au moment où la demande d’électricité est la plus forte.
Voyez les explications ici : Que réprésente les éoliennes en hiver ?
Idée reçue n°43 : en hiver, il vaut mieux moins aérer
Faux - La pollution intérieure est une réalité et elle ne s’arrête pas l’hiver. Néanmoins, vu les températures, qui descendent parfois sous zéro, on serait tenté de garder les fenêtres fermés pour préserver la chaleur. A-t-on raison ? Non, à la fois pour la santé, et pour la consommation en énergie.
Idée reçue n°44 : un feu de cheminée ne pollue pas
FAUX - Les feux de cheminée dégagent énormément de particules, comme on l'explique dans la note [ Feu de cheminée ].
Idée reçue n°44 : manger trop d'oeufs provoque le cholestérol
FAUX -
Idée reçue n°44 : les oiseaux dorment dans des nids
Vous pensez que les oiseaux dorment dans leur nid ? Et bien non. FAUX